Lampiris 2015 : un soutien précieux pour les apiculteurs

Lors de trois courses organisées en avril et mai 2014 à Liège, Charleroi et Woluwe-Saint-Lambert, Lampiris offrait la possibilité aux participants de courir en faveur des abeilles et des apiculteurs.

A ces occasions, Lampiris offrait un tee-shirt technique à tous les participants adultes. Pour chaque tee-shirt porté lors de la course, Lampiris offrait 500 abeilles à un apiculteur de nos régions.

Le succès fut au rendez-vous :

1600 coureurs ont porté le tee-shirt Lampiris à Liège.
1120 coureurs ont porté le tee-shirt Lampiris à Woluwe.
780 coureurs ont porté le tee-shirt Lampiris à Charleroi.

Au total, 35 nouvelles colonies d’abeilles ont été offertes au printemps 2015 à des apiculteurs et des associations apicoles de nos régions.

 

En 2015, vous avez couru à nouveau pour votre forme et celle de nos abeilles lors de 4 courses organisées à Liège, Charleroi, Woluwe et Bruxelles.

Les résultats sont formidables :

·       Liège : 2400 t-shirts Lampiris portés.

·       Woluwe : 1200 t-shirts Lampiris portés.

·       Charleroi : 850 t-shirts Lampiris portés.

·       Bruxelles : 1250 t-shirts Lampiris portés

Grâce à vous et à l’engagement de Lampiris, 57 nouvelles colonies d’abeilles pourront ainsi être offertes à des apiculteurs et des associations au printemps 2016.

Un très grand merci à Lampiris pour son précieux soutien !

L’oiseau à miel

Le miel attire décidément bien des convoitises et suscite des collaborations pour le moins inattendues…

Il existe dans certaines régions tropicales un oiseau qui raffole des larves et de la cire mais qui n’ose pas s’attaquer seul aux ruches sauvages. Quand il a repéré une colonie d’abeilles, l’indicateur (honeyguide en anglais), qui porte bien son nom, part alors à la recherche d’un complice gourmand pour l’aider à déloger le nid. Il émet, pour ce faire, un chant lancinant caractéristique. Le ratel, un prédateur à la fourrure épaisse et aux puissantes griffes, ne raterait pour rien au monde une telle invitation mais l’homme n’a pas son pareil pour collaborer et communiquer avec notre oiseau futé. Quand il a trouvé son partenaire,  homme ou animal, l’indicateur va le guider en volant de branche en branche jusqu’à l’endroit convoité. Les deux complices du moment peuvent alors se partager le butin. Si l’on pourrait difficilement se prononcer sur les intentions du ratel, l’homme n’oubliera jamais de laisser une part à son précieux acolyte.  Si vous voulez, vous aussi, suivre le chant entêtant de cet astucieux volatile, c’est par ici (FR), ici (EN) et ici (EN).

Bonne dégustation!

Votre happyculteur,

Bruno

Quand les abeilles deviennent thérapeutes…

Le partenariat que Made in Abeilles a initié depuis peu avec les Hôpitaux Iris Sud a permis de dévoiler une nouvelle facette des bienfaits de l’abeille pour l’homme. Nombreux êtes-vous à avoir entendu parler des vertus thérapeutiques du miel, du pollen et de la propolis. Ici, c’est la rencontre entre les abeilles et des personnes en souffrance qui a révélé une toute autre dimension thérapeutique.

Tous ceux qui ont déjà approché de près des abeilles vous le diront, c’est la magie de la ruche… Et les apiculteurs qui parlent de leur métier avec autant de passion en sont, peut-être sans le savoir, les premiers bénéficiaires. Quand vous travaillez avec les abeilles, vous vous immiscez dans un autre monde… Un monde où vous devez agir avec douceur, rapidité et éviter tout geste inutile pour mieux l’appréhender. Vous devez surtout observer et user de tous vos sens. Quand vous ouvrez une ruche, vous oubliez tout le reste pour mieux vous connecter avec cette colonie d’abeilles comme si c’était un seul être, un être que vous essayez de comprendre pour lui apporter les soins nécessaires. Et une fois la ruche refermée, vous devez garder les sens en éveil, vous imprégner de la nature environnante et des plus infimes variations de saison afin d’anticiper au mieux les besoins de vos colonies. Les abeilles existent depuis 100 millions d’années et leur organisation complexe est en totale symbiose avec les rythmes de la nature. Prendre conscience de cela, c’est accepter avec humilité la place de l’homme dans son environnement et se battre pour mieux le préserver.

La magie de la ruche, c’est qu’elle nous permet de nous reconnecter avec notre corps, de nous remettre en phase avec la nature et de nous laisser emporter par la grâce du moment présent. Gageons que c’est aussi cette magie qui permet de soulager quelque peu les patients en leur montrant, le temps d’une animation, qu’il est encore possible de s’évader de leur quotidien…

 

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Les abeilles ont montré qu’elles pouvaient soigner les hommes… C’est à l’homme maintenant de prendre soin d’elles parce qu’elles en ont bien besoin, elles aussi… Made In Abeilles travaille depuis 2011 à la préservation des abeilles, au soutien des apiculteurs locaux et à la sensibilisation du grand public. Les partenariats que nous avons progressivement développés avec des entreprises et organismes engagés nous ont permis d’aller à la rencontre d’un public de plus en plus sensible à la cause des abeilles. Notre travail avec les Hôpitaux Iris Sud est l’aboutissement de plusieurs années d’action sur le terrain et nous en sommes très fiers. Nous sommes convaincus qu’en plus de révéler un nouvel outil thérapeutique, il contribuera à sensibiliser davantage le public au respect de l’environnement dont les abeilles sont de formidables porte-paroles. Les abeilles nous rappellent à leur manière que c’est l’ensemble de la biodiversité qui est aujourd’hui en déclin. Ne l’oublions pas parce que nous en faisons tous partie…

Belle-île, de belles activités didactiques pour les écoles

L’engagement de Belle-île à nos côtés est un bel exemple de l’impact qu’une entreprise peut avoir en termes de sensibilisation.

Belle-île a organisé en 2014 plus 50 activités didactiques à destination des écoles dans le cadre d’une très belle exposition qui s’est étalée sur deux semaines.

Un concours a permis à une classe de visiter les ruches au printemps 2015, une expérience que les enfants ne sont pas prêts d’oublier.

Ces initiatives méritent vraiment d’être soulignées, tant elles donnent du sens à l’adoption des ruches par Belle-île et confirment la sincérité de la démarche en faveur des abeilles.

Nous remercions vivement ce précieux partenaire qui nous permet de sensibiliser un public important au problème urgent de la disparition des abeilles et des autres pollinisateurs.

Félicitations à l’équipe dynamique de Belle-île qui rend tout cela possible. http://www.belle-ile.be/

Les actions Lampiris 2014

Depuis l’été 2013, via son partenariat avec Made in Abeilles, Lampiris a mené plusieurs actions importantes en faveur des abeilles et des apiculteurs.

1)   L’adoption de ruches :

Au cours de l’été 2013, Lampiris a accueilli sur son site du Couvent Sainte-Agathe en plein centre de Liège deux nouvelles colonies d’abeilles. Cette action visait quatre objectifs principaux :

  • Offrir aux abeilles un gîte favorable en zone urbaine.
  • Favoriser la biodiversité locale via la pollinisation.
  • Offrir à ses collaborateurs la possibilité de découvrir le monde fascinant des abeilles.
  • Sensibiliser le grand public au problème de leur disparition.

Chaque semaine, durant la saison apicole 2014, une douzaine de collaborateurs Lampiris ont participé avec enthousiasme à deux ateliers d’initiation à l’apiculture. Plusieurs d’entre eux ont d’ailleurs décidé de consacrer une partie de leurs loisirs à l’apiculture et d’installer une ruche à la maison, autant de nouveaux bergers pour prendre soin des abeilles.

Ces deux colonies Lampiris auront quant à elles butiné plus de 8 milliards de fleurs durant l’année 2014 sur une superficie de 700 hectares chacune. La première récolte du miel Lampiris a été réalisée par les apprentis apiculteur en juin 2014. Les petites protégées Lampiris sont maintenant entrées en hivernage, les participants se réjouissent déjà de reprendre l’activité dès le printemps 2015.

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2)   L’action « nouveaux clients »

Fin 2013, Lampiris a décidé de s’engager dans une action d’envergure en faveur des abeilles et des apiculteurs wallons et bruxellois. Entre le 15 Novembre et le 15 décembre, pour chaque nouveau client Lampiris 500 abeilles était offertes à un apiculteur wallon ou bruxellois. Pour 100 nouveaux clients Lampiris, une nouvelle colonie de 50.000 abeilles était offerte à un apiculteur en Wallonie et à Bruxelles.

  • Grâce à l’engagement de Lampiris et de ses clients, 75 nouvelles colonies d’abeilles ont pu être offertes à des apiculteurs wallons et bruxellois.
  • Ces colonies ont constitué un soutien important pour plusieurs ruchers écoles, favorisant la formation de nouveaux apiculteurs.
  • Au total, plus de 4 millions d’abeilles ont été installées dans nos régions.
  • On peut considérer que plus de 300 milliards de fleurs ont été visitées par les colonies Lampiris en 2014. Elles pourront poursuivre cet extraordinaire travail de pollinisation en 2015 et une grande partie d’entre elles donneront naissance au printemps à de nouvelles colonies.
  • Cette action a également permis à Made in Abeilles de multiplier ses activités de sensibilisation auprès du grand public.

Les colonies Lampiris ont été installées dans toute la Wallonie et à Bruxelles. De nombreux apprentis apiculteurs ont pu recevoir leur première colonie d’abeilles et se lancer dans l’aventure apicole grâce à cette action.

 

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3)   Courir pour les abeilles : Green Tour 2014

Lors de trois courses organisées en avril et mai 2014 à Liège, Charleroi et Woluwe-Saint-Lambert, Lampiris offrait la possibilité aux participants de courir en faveur des abeilles et des apiculteurs.

A ces occasions, Lampiris offrait un tee-shirt technique à tous les participants adultes. Pour chaque tee-shirt porté lors de la course, en plus de soutenir les causes défendues par le 11.11.11, Vivre Ensemble ou Unicef, Lampiris offrait également 500 abeilles à un apiculteur local via son partenaire Made in Abeilles.

Le succès fut au rendez-vous :

–        1600 coureurs ont porté le tee-shirt Lampiris à Liège.
–        1120 coureurs ont porté le tee-shirt Lampiris à Woluwe.
–        780 coureurs ont porté le tee-shirt Lampiris à Charleroi.

Au total, 35 nouvelles colonies d’abeilles pourront être offertes au printemps 2015 à des apiculteurs et des ruchers écoles dans les provinces concernées. Cela représente près de 2 millions de nouvelles butineuses qui polliniseront près de 140 milliards de fleurs dans nos régions en 2015.

Et ce n’est pas fini ! Lampiris veut poursuivre son engagement en faveur des abeilles et des apiculteurs de nos régions. De nouvelles actions sont déjà prévues pour 2015… A suivre…

Les dangers des pesticides en quelques points

Les produits phytosanitaires représentent un danger à la fois pour l’environnement et pour votre santé. Les enfants y sont particulièrement exposés. Il nous semble utile de faire le point sur ces dangers.

Les risques pour l’environnement :

Tout traitement chimique, qu’il s’agisse d’insecticides, de fongicides ou d’herbicides, aura INÉVITABLEMENT un impact sur l’environnement :

– Pollution des eaux de surface et souterraines (surtout avec les herbicides chimiques), intoxication des organismes aquatiques, contamination de l’eau du robinet.

– Destruction des micro-organismes indispensables à la fertilité du sol. Il faut savoir qu’une seule poignée de terre fertile contient des milliards d’êtres vivants nécessaires à l’équilibre de l’écosystème. Le sol est vivant, les pesticides le tue.

– Toxicité importante vis-à-vis de tous les insectes du jardin, et partant de toute la chaîne alimentaire, jusqu’à l’homme.

– 25 à 75% des produits répandus ne se déposent pas sur la cible lors d’un traitement et sont répandus dans la nature.

– En milieu urbain, jusqu’à 40% de la quantité d’herbicide utilisée se retrouve dans les cours d’eau.

De plus, ces produits hautement toxiques sont rémanents, c’est-à-dire qu’ils peuvent persister plusieurs années dans le sol après leur utilisation. Les règlementations existantes tiennent rarement compte de ce phénomène de rémanence et d’accumulation.

Les risques pour votre santé

– Irritations, vomissements, pertes de conscience, oedèmes pulmonaires, cancers, leucémies, diminution de la fertilité sont autant de symptômes liés à l’utilisation ponctuelle ou répétée de pesticides. Les agriculteurs sont particulièrement sujets à ce type de symptômes graves.

– Ces produits entrent en contact avec notre organisme par la peau, les yeux, par inhalation, par ingestion conduisant à des symptômes cutanés, digestifs, oculaires, neurologiques.

– Quelles que soient les précautions prises pendant un traitement chimique, il existe un risque de contamination par l’air, l’eau ou les aliments. Lorsque vous utilisez des pesticides dans votre jardin, soyez conscients que vous contaminez également le voisinage.

– Les risques pour les enfants sont encore plus importants car les doses conduisant à l’apparition de symptômes sont plus faibles que pour un adulte. Un petit enfant court 12 fois plus de risque d’intoxication qu’un adulte lorsqu’il est exposé aux pesticides, que ce soit par l’air, l’eau ou l’alimentation.

Des solutions alternatives existent ! Il est urgent de cesser d’utiliser ces poisons !

Nous publions ces informations avec l’aimable autorisation de l’asbl ADALIA, avec qui nous collaborons désormais activement.

Pour tout complément d’informations, n’hésitez à vous rendre sur leur site : www.adalia.be

Votre happyculteur inquiet,

Stéphan

Reconnaître et accueillir les abeilles sauvages

On décompte en Belgique près de 350 espèces d’abeilles sauvages. Leur activité pollinisatrice est indispensable. Voici quelques repères qui vous permettront d’identifier celles qui habitent votre jardin.

Les abeilles sauvages sont plutôt solitaires. Chaque femelle pond quelques oeufs dans son propre nid, dans une cellule contenant déjà toutes les réserves de nourritures nécessaires à son développement. Elles ne produisent pas de miel, ce ne sont pas des mellifères. Dans leur grande majorité, les abeilles sauvages ne passent pas l’hiver à l’état adulte.

Les osmies, de merveilleuses maçonnes

Les trous d’évacuation de vos châssis de fenêtre sont bouchés? Félicitations, vous accueillez des osmies. Elles nichent en effet dans de petits orifices où elles peuvent pondre leurs larves. Elles adorent les vieux murs, les tiges creuses, et on peut facilement leur offrir le gîte en aménageant un petit hôtel à insectes avec des briques percées ou des tiges de bambous. Elles s’activent très tôt dans la saison, dès que les température remontent à l’approche du printemps. Très poilues, on les reconnaît facilement à leurs couleurs rousse et noire. Elles sont très pacifiques et on peut les observer sans aucun danger.

Les mégachiles, des découpeuses de feuilles

Elles ont la particularité de découper de petits morceaux de feuilles avec lesquels elles fabriquent de petits tubes qu’elles garnissent de nectar et de pollen avant d’y déposer leur oeuf. Elles alignent ces tubes dans du bois mort, des tiges creuses ou dans le sol selon les espèces. Elles apprécient notamment les feuilles de rosier dans lesquels elles opèrent des découpes avec une précision chirurgicale. Pas d’inquiétude cependant, ces prélèvements n’ont aucun impact sur la santé des plantes.

Les Xylocopes, les charpentières

Grandes, entièrement noires, elles se reconnaissent à leur vol bruyant. Elles nichent souvent dans du bois mort au pied duquel on peut trouver de petits copeaux éparpillés, d’où leur nom d’abeilles charpentières. Elles possèdent de puissantes mandibules qui leur permettent de creuser le bois mort. Chaque femelle construit une série de nids dans plusieurs galeries. Elle récolte la nourriture nécessaire, pond un oeuf et clôt la cellule avec un mélange de sciure et de salive.

Pour préserver ces abeilles sauvages absolument indispensable à notre écosystème, quelques petits gestes peuvent faire la différence :

– Planter une haie composée d’arbustes indigènes : érable, aubépine, robinier, saule, sureau, ronce, lierre,…
– Semer des mélanges de fleurs indigènes
– Conserver un coin de jardin à l’état sauvage
– Eviter le recours aux pesticides chimiques.
– Laisser un tas de pierres ou de bois mort dans un coin du jardin.
– Installer un hôtel à insecte.

N’attendez plus pour offrir le gîte et le couvert à ces merveilleux pollinisateurs, ils ont besoin de notre aide !

Votre happyculteur, Stéphan

Les 75 colonies Lampiris sont en cours d’installation chez leurs nouveaux bergers

Depuis 1 mois, nous nous attelons à la distribution des colonies offertes aux apiculteurs wallons et bruxellois dans le cadre de l’action Lampiris.

Les colonies proviennent de chez José Artus, compagnon des abeilles depuis près de 50 ans. Les apiculteurs qui ont bénéficié de ce précieux soutien ont eu le plaisir de d’accueillir de magnifiques abeilles, douces et en pleine forme. Certains auront même la chance de réaliser leur première récolte de miel tant les colonies étaient déjà bien développées.

Que du bonheur pour les apiculteurs !

Voici les premières photos de ces nouvelles ruches qui pollinisent nos régions. Encore un grand merci à Lampiris pour cet engagement en faveur des abeilles et de leurs bergers.

Aux armes citoyens

Une étude indépendante menée par le CARI et financée par le plan Maya vient d’aboutir. Les résultats sont clairs : les fongicides jouent un rôle déterminant dans la disparition massive de nos colonies d’abeilles. Aux armes citoyens !!!

Ces résultats sont d’une importance majeure en ce qu’ils relèvent enfin d’une étude indépendante et qu’ils montrent sans aucun doute possible que l’utilisation massive des pesticides, et plus particulièrement des fongicides, constitue le facteur numéro 1 de la disparition des abeilles.

Vous vous demanderez certainement comment il se fait que de tels résultats se fassent attendre depuis si longtemps? La réponse est simple : les conflits d’intérêts ! Le lobbying acharné des multinationales phytopharmaceutiques est efficace et ralentit considérablement les initiatives scientifiques qui permettraient de trancher la question une fois pour toutes. L’engagement du Cari et du Ministère de l’Agriculture mérite donc d’être salué. Cette étude, nous l’espérons, fera date.

Pour sauver nos abeilles, un engagement politique ambitieux est indispensable, et ce au niveau européen. Comme le souligne Etienne Bruneau du Cari, « si l’on veut sauver les abeilles, c’est toute l’agriculture européenne qu’il faut changer. » Il faut également soutenir nos agriculteurs, acculés par l’industrie agroalimentaire, dans ce changement.

Et qu’on ne nous dise pas que sans agriculture intensive, on ne pourrait pas nourrir la planète. L’argument est fallacieux, toutes les études indépendantes le montrent, les alternatives viables et durables existent déjà.

Chacun d’entre nous  a également un rôle à jouer, à travers une consommation plus responsable, le vote, les pétitions. Il faut faire entendre notre voix et montrer à ces géants du phytopharmaceutique, Monsanto, Syngenta, Bayer et consorts, qu’ils ne décideront pas à notre place et qu’on ne les laissera pas continuer à empoisonner notre planète.

Nous devons changer de modèle agricole, et ce sans plus attendre, au risque de voir notre belle planète à jamais défigurée !

Aux armes citoyens !!!

Votre happyculteur en colère

Stéphan